18 mars 2009
3
18
/03
/mars
/2009
09:42
Lycéens, travailleurs, étudiants : tous ensemble le 19 mars
Le 19 mars 2009 aura lieu une grande manifestation qui réunira tous les secteurs du public (Santé,administration,
éducation…) et du privé.
Nous, jeunes, il est temps dedescendre dans la rue pour protester contre la précarisation de notre génération et la casse des différents services publics, notamment en matière d'éducation.
Sur la continuité du 29 janvier, les étudiants, alliés auxenseignants-chercheurs et personnels de l’université, ont entamé un mouvement de revendication. Mais pour quoi se battent-ils ? Le gouvernement a lancé l’année dernière un des processus les plus dévastateurs de réformes de l’université : la loi LRU (Libertés et responsabilités des Universités). En gros, elle favorise une certaine privatisation de toutes les universités françaises en désignant ses présidents comme PDG d’une grande entreprise où les clients seront justes des étudiants fortunés.
Le contenu des décrets de la loi LRU est sans nul doute, une attaque pour l’avenir de l’Université publique : suppression de 900 postes, dégradation de la formation des enseignants avec la masterisation des concours et la suppression des IUFM, financements des universités à la performance, multiplication des bourses au mérite à la place de celless ur critères sociaux…
Nous, étudiants en lutte, exigeons :
-Abrogation de la LRU et de l’ensemble des décrets d’application
-Arrêt des suppressions de postes dans l'Education
-Tenue d’États généraux de l’enseignement supérieur
-Arrêt des poursuites judiciaires envers les étudiants mobilisés.
vous avez également peut-être entendu que notre « cher » gouvernement propose de supprimer 13500 postes dans l’Education Nationale cette année. C’est, à terme, des suppressions de classes, voir même de filières, dans certains collèges et lycées.
Localement, au lycée Marguerite de Flandre de Gondecourt, on nous annonce 6 suppressions de postes. Le recteur a a ainsi décidé, malgré des effectifs similaires à ceux de 2006 et des classes déjà surchargées, de supprimer 149h de planning horaire et 3 classes etd emies devraient être supprimé. La JC diffuse en ce moment une pétition contre les projets néfastes de démantèlement de service public de l’enseignement. Elle appelle à une mobilisation la plus large possible. Etudiants, lycéens, tous ensemble, manifestons le 19 marsc ontre cette casse du service public de l’éducation et les projets néfastes de ce gouvernement qui reste encore sourd (et accessoirement muet en réelles propositions sociales).
Nous, jeunes, il est temps dedescendre dans la rue pour protester contre la précarisation de notre génération et la casse des différents services publics, notamment en matière d'éducation.
Sur la continuité du 29 janvier, les étudiants, alliés auxenseignants-chercheurs et personnels de l’université, ont entamé un mouvement de revendication. Mais pour quoi se battent-ils ? Le gouvernement a lancé l’année dernière un des processus les plus dévastateurs de réformes de l’université : la loi LRU (Libertés et responsabilités des Universités). En gros, elle favorise une certaine privatisation de toutes les universités françaises en désignant ses présidents comme PDG d’une grande entreprise où les clients seront justes des étudiants fortunés.
Le contenu des décrets de la loi LRU est sans nul doute, une attaque pour l’avenir de l’Université publique : suppression de 900 postes, dégradation de la formation des enseignants avec la masterisation des concours et la suppression des IUFM, financements des universités à la performance, multiplication des bourses au mérite à la place de celless ur critères sociaux…
Nous, étudiants en lutte, exigeons :
-Abrogation de la LRU et de l’ensemble des décrets d’application
-Arrêt des suppressions de postes dans l'Education
-Tenue d’États généraux de l’enseignement supérieur
-Arrêt des poursuites judiciaires envers les étudiants mobilisés.
vous avez également peut-être entendu que notre « cher » gouvernement propose de supprimer 13500 postes dans l’Education Nationale cette année. C’est, à terme, des suppressions de classes, voir même de filières, dans certains collèges et lycées.
Localement, au lycée Marguerite de Flandre de Gondecourt, on nous annonce 6 suppressions de postes. Le recteur a a ainsi décidé, malgré des effectifs similaires à ceux de 2006 et des classes déjà surchargées, de supprimer 149h de planning horaire et 3 classes etd emies devraient être supprimé. La JC diffuse en ce moment une pétition contre les projets néfastes de démantèlement de service public de l’enseignement. Elle appelle à une mobilisation la plus large possible. Etudiants, lycéens, tous ensemble, manifestons le 19 marsc ontre cette casse du service public de l’éducation et les projets néfastes de ce gouvernement qui reste encore sourd (et accessoirement muet en réelles propositions sociales).
Clément Boulonne